- Livre : L’élite
- Auteur : Kiera Cass
- Maison d’édition : Collection R
- Supports de lecture : Ordi
- Temps : 1 jour
Résumé
Mon avis
Dans ce second tome, les choses s’accélèrent. Qu’il s’agisse des renégats, de la sélection, des sentiments d’America à l’égard d’Aspen et Maxon, de l’animosité du roi envers America…
Cette dernière tente à plusieurs reprises de l’évincer, en s’appuyant notamment sur sa propension à la franchise, sur les intentions d’America d’abolir le système de castes et va même jusqu’à émettre l’hypothèse qu’elle ne soit là que pour la dot versée à sa famille. Le roi menace d’ailleurs America afin qu’elle garde secrètes toutes les conversations qu’ils ont eues. Il affirme qu’elle aurait dû être éliminée dès les premiers jours, qu’elle est banale, dénuée d’intérêt et de charme… Il reproche à son fils d’être sous son « influence ».
Aspen est de plus en plus présent et affirme sa volonté de se battre pour le cœur d’America, car selon lui jusqu’à l’annonce de l’Elue, la lutte n’est pas perdue.
Du côté des Renégats, les extrémistes sont de plus en plus téméraires, allant même jusqu’à envahir le palais en plein déjeuner, à lutter avec les gardes, à saccager le palais, menacer la famille royale, les sélectionnées et même leur famille.
La reine Amberly et America s’entretiennent un peu plus, America a moins peur d’affirmer son attachement à Maxon et souhaite farouchement rester dans la compétition afin de lutter pour lui.
Maxon quant à lui se rapprocher d’une autre sélectionnée, laissant America perplexe…
Marly avoue à cette dernière ne pas être amoureuse de Maxon et encore moins vouloir finir sa vie à ses côtés, mais ne souhaite pour autant pas quitter le palais. Cette déclaration intrigue et perturbe énormément America.
De son côté Céleste est toujours aussi peste, elle multiplie les coups bas, les menaces, les faux semblants et l’animosité pure et dure.
L’étau se resserre autour des six dernières sélectionnées demeurant en lice, l’Elite. Elles ne reculeront devant rien ou presque pour gagner les faveurs et par là, le cœur de Maxon.
Note : ⭐⭐⭐⭐